Woh, là je suis conquise ! :)
C'est le titre, qui m'a intriguée et m'a menée ici. J'ai beaucoup aimé la présence de cet univers "marin". Un passage m'a particulièrement plu :

Citation :

Ce n'est qu'une douce souffrance
Entre vagues et hurlements
Nul horizon dans le silence
Méridine appelle ses enfants

L'absence en tout temps la ronge
Il ne s'agit pas d'un songe
Déesse cherche son peuple sans cesse
Nulle résistance à sa détresse
Solitude, tristesse et désespoir
Te mèneront à ta perte un soir
Ses larmes coulent sur son sein
C'est un fantôme pour tous les marins

C'est pour moi l'apogée du poème, là où 90% de son énergie est concentrée.

Je suis ennuyée de ne pas pouvoir produire de commentaire plus long, mais parfois, certains textes se passent de longs commentaires : l'éloge existe d'elle-même... :)