Coucou Margogotte !
Merci beaucoup pour ce commentaire. Recevoir de tels compliments, c'est vraiment cool ! Je suis contente que le texte t'ait autant parlé, surtout que tu l'as complètement cerné, j'ai essayé de filer une sorte de portrait de femme "rose", de femme belle et fatale, à l'image de la plante. Si ça a réussit, tant mieux ! :3
Quant à la citation, elle n'est tirée de nulle part, je l'ai écrite. Je voulais faire une sorte de jeu théâtral. Parce que finalement, cette nouvelle, c'est plus un entrelacement entre le théâtre et la poésie (sauf que j'aime pas tellement leur forme et leurs règles, alors :c). J'ai juste fait un clin d’œil à l'oeuvre de Balzac, Ferragus. Je ne sais pas si tu l'as lu ce petit roman, mais grosso-modo il est dit que Madames Jules, une bourgeoise jusqu'alors heureuse et vertueuse, trouvera le malheur dans la rue Soly. Et, en effet, c'est ce qui arrive dès le premier chapitre (au touuuut touuut début, donc tékaté j'te spoile rien xD). Donc voilà, je trouvais ça intéressant de faire le rapprochement avec le "malheur" final de Chevrier, quoi qu'il ne mérite pas d'être pleuré, à bien y penser.